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Antidépresseur léger : comment s’y prendre ?

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Aujourd’hui, la dépression est l’une des pathologies les plus fréquentes. Il s’agit en effet d’un dysfonctionnement qui porte le thermostat de l’humeur vers le bas et qui plonge le sujet dans un profond affaissement de l’énergie physique ou morale. Heureusement, il est possible de suivre un traitement dépression pour corriger le tir. Découvrez ci-dessous des informations utiles sur les antidépresseurs légers.

Antidépresseur léger : comment s’y prendre ?

Médicament dépression : ce que vous devez savoir

Les antidépresseurs sont principalement utilisés, depuis les années 1960, dans le traitement dépression. En général, l’évaluation des médicaments dépression évolue avec le temps et on connait désormais leurs bénéfices et leurs risques. Rappelons toutefois que l’efficacité et les effets indésirables d’un antidépresseur léger varient d’une personne à l’autre. Très souvent, ces produits médicamenteux sont accompagnés d’une notice qui renseigne sur l’efficacité et sur les risques du traitement. Tenir compte de ces informations permet de mieux lutter contre la dépression.

Les antidépresseurs sont des médicaments destinés à soulager les symptômes de la dépression. Ils améliorent par conséquent l’humeur du patient. Retenez cependant qu’ils ne sont pas des médicaments euphorisants. Dans la plupart des cas, ces produits n’ont aucun effet sur les personnes qui ne souffrent pas d’un réel trouble dépressif. Si les antidépresseurs légers sont essentiellement indiqués pour le traitement dépression, certains d’entre eux ont un champ d’action beaucoup plus large. Il existe en effet des médicaments dépression qui permettent de :

  • Traiter certaines formes d’anxiété ;
  • Corriger le problème de boulimie ;
  • Traiter les troubles émotionnels dans le cadre d’autres maladies psychiques ;
  • Etc.
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Dans certains cas, les antidépresseurs sont utilisés en complément d’une prise en charge psychothérapeutique. Cependant, leur usage ne se justifie que lorsque les symptômes caractérisant une véritable dépression entraînent un risque ou un handicap pour la personne. Précisons également que leurs effets bénéfiques ne sont pas immédiats. Ils se ressentent généralement au bout de 2 à 6 semaines de dépression traitement.

Les différents types d’antidépresseurs

On classe les antidépresseurs en fonction de leurs actions sur certains neurotransmetteurs. Ces derniers sont en effet des substances qui facilitent les transferts des informations entre les neurones. Retrouvez ici quelques antidépresseurs couramment utilisés.

  • Les antidépresseurs imipraminiques (DCI) : chimiquement proches de l’imipramine (la maprotiline, la clomipramine, la dosulépine, l’amitriptyline, l’amoxapine, la nortriptyline, l’imipramine elle-même, etc.), ces médicaments dépression permettent d’augmenter l’action de la noradrénaline. Certains d’entre eux peuvent agir sur la sérotonine.
  • Les antidépresseurs inhibiteurs de la monoamine-oxydase (IMAO) : ils favorisent une augmentation des effets des neurotransmetteurs sérotonine, noradrénaline, et dopamine. Les plus connus sont l’iproniazide, le moclobémide et la phénelzine.
  • Les antidépresseurs inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (IRS): ils sont utilisés pour augmenter l’action de la sérotonine. Parmi les plus cités, on trouve la paroxétine, lecitalopram, la sertraline, l’escitalopram, la fluoxétine et la fluvoxamine.

Traitement dépression : attention aux effets indésirables

Les antidépresseurs légers peuvent parfois causer des effets indésirables plus ou moins gênants. Si les complications du traitement dépression varient en fonction du type de médicament dépression, il existe quand même des points communs. Les détecter permet de prendre les précautions qu’il faut pour limiter les dégâts.

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En général, les antidépresseurs ont des effets sédatifs sur l’organisme. Ils peuvent donc provoquer une somnolence, avec des risques de chute chez les personnes du troisième âge et d’accident. Chez certains patients, ces médicaments peuvent occasionner un syndrome sérotoninergique. Il s’agit en effet d’un problème parfois grave qui nécessite souvent une hospitalisation. Dans certains cas (rares), les antidépresseurs légers augmentent le risque de convulsions. Ces effets sont communs aux personnes ayant déjà eu des convulsions. Un surdosage peut également provoquer cela.

Si les médicaments dépression permettent généralement d’équilibrer l’humeur d’une personne, ils sont à prendre avec précaution.

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