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David Gewirtz, journaliste et auteur américain spécialisé dans les technologies, affirme qu’il aurait dû mettre à jour son iMac depuis longtemps, mais il attendait depuis longtemps un nouveau modèle de la part d’Apple. À l’approche d’une annonce importante, il nous livre ce qui, selon lui, constitue les caractéristiques d’un iMac de rêve.
Mise en contexte
Mon outil de travail principal est un iMac 2013 de 27 pouces haut de gamme de 32 Go de RAM (qui est complètement rempli d’ailleurs), une clé USB téraoctet et un processeur Intel Mobile Core i7 Haswell de quatrième génération, assez puissant. Il dispose également d’une GeForce GTX 780M avec 4 Go de mémoire GDDR5. En 2013, c’était épique. Aujourd’hui, c’est carrément dépassé.
La dernière version de test de Microsoft pour Windows 10 19H1 permet de supprimer un plus grand nombre d’applications préinstallées.
J’ai retardé la mise à jour de cette machine, en attendant les dernières annonces Mac d’Apple. Mais l’article de la semaine dernière d’Adrian Kingsley-Hughes m’a inspiré. Il a écrit à propos de sa liste de fonctionnalités fantastiques pour un nouvel iPad Pro. J’ai donc pensé : que diriez-vous d’une liste de fonctions fantastiques pour l’iMac ?
Je vais commencer par vous poser une question : qu’est-ce que cela signifie d’être un iMac ?
Qu’est-ce-que ça veut dire d’être un iMac ?
Fondamentalement, un iMac est un ordinateur intégré à un écran. Mais puisque cela décrit également à peu près n’importe quel ordinateur portable, les facteurs clés sont que l’iMac est conçu pour être posé sur un bureau et non sur un tour de table, tout en proposant un écran plus grand que ce qui serait pratique dans un appareil mobile ou un ordinateur portable.
J’ai possédé un tas d’iMacs au fil des ans. Parfois, j’ai trouvé l’affichage intégré utile. À d’autres moments, ça ressemblait plus à un albatros qu’à une aide parce qu’il est grand, lourd, et d’une certaine façon pas aussi grand que je le voudrais.
Quand Apple a présenté l’iMac pour la première fois, il s’agissait d’une machine à boîte unique. C’était à peu près aussi fidèle à la vision originale du premier Macintosh que n’importe quel modèle Apple pourrait l’être. Le moniteur et le châssis de l’ordinateur ont été intégrés dans un seul boîtier. Le clavier et la souris connectés séparément.
Les premiers Macs beiges et les iMacs les plus anciens pouvaient également être portés d’une seule main. Ils étaient en fait munis d’une poignée sur le dessus de l’appareil. Ce n’est plus une caractéristique de l’iMac.
- L’iMac d’aujourd’hui est, au moins physiquement, presque identique aux iMacs remontant jusqu’à l’ancien iMac G5 2005 ;
- Tous les iMacs depuis 2005 ont le même look rectangulaire avec le menton sur lequel figure le logo Apple ;
- En 2007, Apple est passé à l’aluminium, et l’iMac avait un look argenté ;
- Puis, en 2012, Apple a introduit le design conique, ce qui a réduit l’épaisseur du bord de l’écran.
Un écran plus grand
Le coût semble excessif. Mais c’est une machine très prisée par certains utilisateurs professionnels qui ont besoin de toute la puissance qu’ils peuvent obtenir.
En pensant à un iMac fantastique, l’écran doit être le point focal. Les écrans de 21 et 27 pouces sont tellement 2009. Je dirais qu’Apple devrait se débarrasser complètement de l’écran de 21 pouces, mais cela a en fait un grand marché dans les écoles. Les iMacs ne se déplacent pas aussi facilement que les ordinateurs portables, et l’écran de 21 pouces est moins cher et plus facile à installer dans les salles de classe étroites.
Mais, à mon avis, il est également temps d’abandonner l’écran de 27 pouces dans son format 16:9.
